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    Adelphi Backpackers ; Kaikoura (un hôtel d’épouvante !)

     

     

    Deuxième billet sur l’île du Sud, toujours dans la catégorie logements ! On innove, on n’innove pas, peu importe ! Je donne des nouvelles, après tout !

     

    Alors, cette auberge, comme le titre l’indique, est plutôt effrayante ! Je n’ai pas pris le temps de choisir un backpacker à Kaikoura et est donc pénétré dans l’enceinte de celui où il y avait de la place.

    En l’occurrence, réservez à l’avance !

     

    Comme à mon habitude, j’ai réservé pour quatre nuits, puis suis entrée dans les couloirs, puis la chambre et la salle de bain. Et de là, j’ai regretté mon choix et ai compris rapidement mon erreur, non remboursable… Voici donc le détail de mon périple :

     

    Les couloirs, tout d’abord, ressemblent fortement à ceux du film Shining. Déjà, c’était un début plutôt terrifiant, avec en prime ; des photos en noir et blanc, avec des enfants ! La nuit, si vous entendez un enfant chantonner, pédalant sur un tricycle, c’est que tout est dans les normes. Retenez-vous jusqu’au matin pour les toiletter et surtout, restez couché !

     

    Ensuite, j’ai déposé mes sacs dans la chambre : des murs oranges tristes, un lavabo et ; ô ! Des poils pubiens (les premiers d’une grande lignée !) ! Par ailleurs, j’ai laissé tomber mon portefeuille sous le lit. Je me suis baissée et de là ; j’ai réalisé. Mince, ils ne passent jamais l’aspirateur dans les endroits difficiles d’accès ! Bon. Je laisse le portefeuille. L’iPhone ? Tant pis. Tout ce qui tombe sous le lit doit y rester, sous risque de contagion !

     

    Puis, après mon long trajet en bus, j’avais besoin d’aller aux toilettes : pas de lumière, pas de savon, pas de papier toilette… J’étais perdue, inquiète, affolée. Je ne savais plus si je devais tout de suite aller me doucher, ou bien me baigner dans l’air morose de cette auberge, où je m’étais engagée pour quatre jours.

     

    Naturellement, j’avais faim et ai donc décidé de cuisiner. Et là, pire encore ! Une cuisine ignoble, négligée à souhait, me souhaitait la bienvenue, à sa manière ! Les meubles étaient vieillots, autant que les ustensiles de cuisine ! J’avais le choix entre une poêle sale ou une poêle sans manche. J’ai choisi celle sans manche, après l’avoir tout de même nettoyé. J’ai ensuite jeté un coup d’œil par la porte-fenêtre et je fus horrifiée de voir que le barbecue était absolument inutilisable, à moins de goûter un poisson aux cendres (cf. photographie, que vous reconnaîtrez et sentirez, même en photo !) ! Je ne suis pas sortie.

     

    Pour résumer, l’Adelphi, à éviter, ne même pas passer devant, et dans le cas où vous n’aurez pas le choix, ouvrez-vous une bouteille de vin par personne, et tentez de passer une « bonne » nuit !

     

    Cela dit, Kaikoura est une très belle ville dont je vous parlerai prochainement !

     


    The Adelphi Backpacker, a horror hostel!

     

    Second article about the South Island, and still in the field of accommodation! Let’s renew, or not renew, anyway! I give some news!

     

    So, this hostel, as the name highlights it, is quiet scary! I didn’t take the time to choose a proper hostel, and entered in the closest from the bus station and with vacancy.  So if you do come to Kaikoura, book in advance!

     

    As I kind of always do, I booked for 4 nights, and then, joining my bedroom, I saw the hallway, the bedroom, the bathroom and the kitchen… At that moment, I regretted my choice! Here are my adventures in this hostel:

     

    First, as I walked in the hallway, I realized the movie Shining might have been shot in this area. Most of all, there were pictures in black and white on the walls, with children! So if at night, you hear a child singing and riding a bike, this means everything is in order! If you need to go to the toilets at night, you should better wait the morning, though!

     

    Then, I put my bags in the bedroom. I thought: “great! There’s a sink in the bedroom with, ô God! Pubic hair” (the first of heaps around the hostel!)! Moreover, I let my wallet falling under the bed and realized they never vacuumed there… My wallet? Oh, I don’t need it, my iPhone? The same! Everything which falls under the beds remains under the beds, because it might be contagious!

     

    And, after my trip by bus, I was hungry, obviously, so I decided to cook. Unfortunately, the kitchen was dirty and looked very old. I had the choice between a dirty pot, and a broken one. I chose the broken one after I cleaned it up, however!  I had a look through the window, and saw the barbecue which was unusual, unless you like smoked fish with cigarettes ashes (check the smelly pictures!). I did not go further out!

     

    After that, I went to the toilets: no light, no toilet paper and no soap. I wondered if I had to have a shower straight away, or accommodates to the air of the Adelphi… I had a shower! I was lost, scared and worried.

     

    To sum up, do not go to the Adelphi, do not walk pass and imagine flowers if you don’t have the choice… Anyway, if you do not have the choice, open up a bottle of wine and try to sleep well!

     

    However, Kaikoura is a nice city I will talk about next!

     

     

     


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    The Bug Backpackers, Nelson

     

    Oh la la ! Oh la la, ! Oh la… Bref…

    Lorsque l’on prend des vacances une fois, on y prend goût et oublions le travail… Le travail ? Mais… C’est comment ?

    En soi, me revoilà. Une chance pour vous ! (pardon. Je me relance des fleurs, en cette période estivale...)

     

     

    Donc partie pour ma dernière ligne droite et enfin visiter cette magnifique île du sud, je rédige un billet, premier d’une longue lignée (j’ai tellement d’idées !) sur, en première, le Backpackers de Nelson où j’ai séjourné : le Bug.

     

    Cette auberge est dotée de maints avantages.

     

     

    Le premier étant le fait que le propriétaire vient vous chercher en voiture à l’office de tourisme, dès votre arrivée en ville. Cela dit, toutes les auberges pratiquent cela, à Nelson, et je dois confirmer : tant mieux, car même si c’est petit, si vous vous trompez de rue, vous finissez en haut d’une vallée ou pire ; en bas ! Pour faire bref, je me suis perdue, et j’ai grimpé !!

     

    Le deuxième avantage, unique en Nouvelle Zélande, c’est l’utilisation du Wi-Fi en illimité et gratuit. Et oui ! Au pays des kiwis, on ne fonctionne qu’à l’achat de mégabytes, pour environ 10NZD pour 100 mégabytes. Je vous laisse faire le calcul. (Mais un mégabyte, c’est quoi ? Hum… :-D)

     

    Et le dernier, qui n’est pas des moindres, c’est l’accueil d’Anthony (oui ; le propriétaire, que j’ai cité trois fois sans même mentionner son nom, par ailleurs… :-s). Il est jeune, grand, beau, euh…, a beaucoup voyagé et cela se voit lorsque l’on séjourne au Bug.

     

     

    Et de là, je me relance sur plusieurs points. Comme nous ne sommes pas à l’école, je rajoute des quichouilleries… Pour le plaisir.

     

    Tout d’abord, il est Anglais et a été retenu par son cœur en Nouvelle Zélande : pour le pays et pour sa femme qu’il a rencontré à Nelson, qui elle, est Canadienne. Ils ont un petit bébé d’un an, qui grimpe de tous les lits superposés pour en sauter. Ah… l’air néo-zélandais fait faire n’importe quoi (rassurez-vous, j’étais déjà dingue auparavant et c’est loin d’être contagieux, même en me lisant !) ! Session Dallas rompue, on repart donc tout de suite dans le blog.

     

    Aussi, il a acheté la maison principale, et a construit lui-même les dépendances autour, où se trouvent les studios dans une maisonnette et des dortoirs dans l’autre, chaque maison ayant sa propre cuisine, ses salles de bain et ah oui, les toilettes ! C’est quand même moins contraignant d’avoir un petit chez soi, même dans une auberge !

    C’est de là que l’on se rend compte qu’Anthony a beaucoup voyagé, en plus de son accueil chaleureux, aimable et souriant, qu’importe l’heure et la situation.

     

    En effet, qu’importe le lit où nous nous trouvons, on aura toujours deux prises électriques à portée de main, au-dessus de la table de nuit. De plus, l’auberge est propre et pas une poussière ne voltige. Même si on souffle partout (oui, oui je n’ai pas essayé, non.) !

     

    Pour l’anecdote, le soir où je suis partie, une vingtaine de backpackers ont bu dans le jardin et tout laissé sur les tables le lendemain, en laissant un mot sur les portes, comme quoi il y aurait des jeux d’alcool le lendemain. A la place de ces affiches, Anthony a prohibé l’alcool dans l’auberge pour deux soirs. Cela m’avait fait rire, parce que je partais cinq minutes après. Dans le cas contraire, j’aurais bu dans mon lit, en cachette… (Non papa, je garde ces cigarettes pour mes copains qui fument et ne veulent pas que leurs parents le sachent !!

    Souvenir ? Présent pour les parents de jeunes adolescents ?)

     

    Pour conclure, si vous passez à Nelson, rendez-vous au Bug, le meilleur Backpacker depuis près de cinq ans dans la ville, le plus propre, le même prix que tous les autres, le plus neuf, le plus beau… Vous attendez quoi, en fait ? A plus tard, dans une autre auberge, une autre ville, et des évolutions !

     

     

    The Bug Backpackers in Nelson

     

    Oh my G….! I’m so sorry I was on Holidays and kind of forgot what work was (working? What is this? Is it fun?)

    Briefly, here I’m back! Yes, yes you can applause, I’ve made it, and I’m proud and. Oh! Really; I should stop being arrogant, sometimes!

     

    So I finally left to this beautiful South Island, to end my trip in New Zealand. The first of rowing articles will be about the Bug Backpackers in Nelson, which was great.

     

    This backpacker has heaps of advantages:

     

    The first one is the fact that the owner comes and picks you up at the tourist center, if you are travelling by bus. Anyway, all of the backpackers of the city do so. The point is that it is very useful, in Nelson. The main reason is that if you don’t borrow the right road, you end on the top of the hills, or down the hills. To make it short; I got lost and Climbed (you can imagine it, if you want!).

     

    Then, the second advantage which is the exclusive one in New Zealand is the free unlimited Wi-Fi. Indeed, here in the country of kiwis, the internet access is counted in megabytes, which cost something around 10NZD for 100 megabytes. I let you do the calculation! (But what is a megabyte? Hum…:-D)

     

    And the last one, which is really important, is the welcoming from Anthony, the owner I talked about three times, without even saying his name. Shame on me! This man is always smiling, anyway what’s going on and how bad the situation could be. He travelled a lot and we can reckon it when we see the hostel.

     

    He’s been travelling for a while, until he fell in love with New Zealand and his wife who comes from Canada, with who he had a son, who climbs all of the top beds and jump from them. Ah… The New Zealand unique air! Fortunately, I was crazy before, and it is absolutely not contagious! So keep reading! Keep reading, I said!

     

    Then, Anthony bought the main house of the Backpacker and built three others around for the two studios and another house with dorms. They are really practical, since there are two electric plugs per bed over a bed table, for instance. Moreover, each has is composed of bedrooms, bathrooms and kitchens, which is not the less important when we are used to sleep in a dorm with one kitchen for the whole hostel. It’s much more intimate! At last, this hostel is very clean and no dust is flying around, even if you blow on the furniture (yeah, yeah! I did not try, sorry!)!

     

    As an example, I will tell about the fact that around 20 backpackers had some drinks one night, and let all of their stuffs around. They decided to organize some drinking games in the hostel for the day after, and posted some posters on the windows. The morning after, Anthony cleaned the mess and replaced the posters by an alcohol banned area for two nights. This made me laugh because I was leaving five minutes after and was not a part of it… J Otherwise, anyway, I would have drunk, hidden in my bed.

     

    In the end, if you drive pass Nelson; let’s meet up at the Bug Backpackers. It’s been the best hostel of the city for the last five years, is the same price as the others, but newer, cleaner, more beautiful… So what are you waiting for?

     

     


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    Une journée au soleil, une journée sans écrire, une journée hors de la Nouvelle-Zélande, et me revoilà.

     

    Chers tous,

     

    Aujourd’hui, en avant-première dans la catégorie « les logements », le Mousetrap.

    Comme son nom l’indique, quelques souris s’y promènent, mais rassurez-vous, on les rattrape toujours !

    Une dose de beurre de cacahuètes, un piège à rat, laissez reposer trois minutes, et la souris est décédée.

    Je ne suis pas pour, mais, si vous voulez conserver vos chocolats…

     

     

    La première fois que je suis arrivée, une petite fille de 4 ans se trouvait devant et m’avait demandé : « Bonsoir, vous avez réservez ? ».

    Moi, plutôt troublée et attendrie à la fois, j’avais répondu que non. Alors, elle me lança : « Oh ; cela va être compliqué, mais suivez-moi. Ce sera par ici. »

    A cet instant ; je pris peur : est-ce un hôtel tenu par une dizaine d’enfants ? Vont-ils nous attraper, comme des souris attirées par du fromage ? Vais-je rajeunir ? Etais-je au pays imaginaire ? Avaient-ils le même effroi que moi, que le capitaine Crochet revienne ?

    Enfin, heureusement, ce n’était que la petite fille du propriétaire… Il est d’ailleurs étonnant que dès lors que ses parents enregistrent les nouvelles arrivées, que l’une de ses enfants s’exclame : « Hey, daddy ! Did you know that bananas was spelt with 3 As ? »

     

    Bon ; cela était pour la petite parenthèse, mais soyez relaxés, elles ne font pas tourner le business. Cela aurait pu être ainsi, cela dit !

     

    Ce backpacker, donc, est le moins onéreux, en l’occurrence:23NZD par nuit au minimum et si vous réservez pour sept nuits d’affilé, la septième nuit est gratuite et de plus, il y donne une vue sur la mer (si vous êtes sur le balcon, que vous vous penchez à 60° sur la droite, que vous mettez votre pouce sur le nez, levez votre jambe gauche et sautez sur vous-même tout en tournant…). Non, je plaisante. Vous aurez une vue sur la mer. Enfin… Hum… Blague de fortune !

     

    De plus, il est parfaitement propre et cosy. Il dispose de trois cuisines, deux salons et des tables de jardin, dans cette propriété majestueuse. C’est un avantage non négligeable, alors que l’on s’habitue pourtant à dormir dans des auberges au standing minimum, comme, ô jamais je ne citerai de nom ; le Fat Camel, à Auckland. Mince, c’est sorti tout seul. Vraiment… Je… Je suis confuse. Je ne recommencerai pas. Oui, parce que le Fat Camel à Auckland, sur Fort Street…, le numéro 38… ! Bien mal m’en a pris, j’ai rechuté !

     

    Cependant, l’auberge est dite « quiet » ; ce qui signifie qu’après 23 heures, vous devrez soit, aller vous coucher, soit sortir dans un bar, ou encore vous installer dans le fond du jardin.

    Dans tous les cas, rien ne vous empêche de vous installer sur la plage, à trois minutes à pieds ! Tant que vous ne dérangez pas les invités qui dorment et les voisins, vous serez dans vos droits !

     

    Enfin, le Mousetrap offre plusieurs services gratuits tel que 50Mb d’internet (oui ; chez nous, on compte en euros et c’est illimité, mais on ne va pas en Nouvelle-Zélande pour passer ses journées sur la toile ! (Un peu oui, je te l’accorde. Oui, je te tutoie.), une cours de pétanque, une cours de tennis, une course à pieds (oui ; celle-ci était toute pourrie.) et des vélos sont également à votre disposition.

     

    P.S. : Si vous le désirez, le propriétaire possède également une maison avec trois chambres, ainsi qu’un studio, qui ne sont pas beaucoup plus chers que les chambres doubles. Alors si vous voyagez avec deux couples, ne vous tassez pas !

     

    Allez, je vous laisse admirer les photos et vous recoucher dans votre chez vous.

     

    A bientôt pour une divagation sur le Vanuatu, si vous en avez le courage !

     


    The Mousetrap Backpacker, in Paihia

     

    So one day out of New Zealand, under the sun and without writing… Then, here I’m back!

     

    Today, in the field of accommodation, I will write about the Mousetrap.

     

    As its name relates, the mousetrap can have some mice walking around, but we still catch them: place a spoon of peanut butter on the mousetrap, wait two minutes and the mouse is dead. I’m not agreeing with that kind of practice, but if you want to keep your chocolate for yourself…

     

    The first time I arrived, there was a 4 year old girl standing in front who asked me: “Hi, have you made a booking?” At that time, I was half surprised, half motioned and simply replied that no. So she said: “Oh; that’s going to be complicated, but it will be this way.”

     

    Then, I was questioning: Is this hostel run by children? Am I going to get younger? Have I arrived in Neverland? Are they all, as scared as I am, will the captain come back?

    Actually, she was the owner’s daughter but it’s pretty funny to hear, while you check in: “Hey daddy, did you know that banana was spelt with 3 As?”

     

    So, this backpacker is the cheapest in town and offers you a sea view (from the balcony, if you put your head 60° on your left, touch your nose with your thumb, lifts your right leg, jump and spin on yourself…). Ok; you will have a sea view! Hum… Joking there is a sea view!

     

    Moreover, this hostel is clean and cozy, which is not neglictable, when you travel in backpackers as dirty and creepy as the… (Oh no, I won’t say any names) the Fat Camel, in Auckland! Oh, sorry, it came out by itself. I won’t start again! Yes, because the Fat Camel, in Auckland, on Fort Street, number 38…:-D

     

    However, the hostel is said to be quiet, which means that every day, after 11 p.m., you have to go to bed, or to some bar, or to the beach which is only at 70 meters from there. As soon as you do not bother people sleeping or the neighbours, you are fine.

     

    At last, the owner offers you several free services like 50MB of internet per day, bikes, a tennis court and a pétanque area.

     

    P.S. If you want, the owner also owns a three bed house and a studio which are not much more expensive than the double bedrooms, so if you are traveling with two couples, it’s really worth it!

     

    So enjoy the pictures and have a good night sleep in your home sweet home!

    See you in a while, for an article out of subject about Vanuatu, if you are brave enough!!

     


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    Bonjour à tous,

     

    Ça faisait un bail, que je n'avais guère donné de nouvelles. Je le regrette... Pour me faire pardonner: nouvel article, nouvelle catégorie... Que du bonheur garanti!

     

    Bien. Parlons de "logement".

    Le Fat Camel Backpacker! Petit budget, petit confort, mais beaucoup d'activités.

     

    Le lundi soir; c'est le Pool Game. Gagnez un jug de bière, à la suite d'une partie de billard, dont les règles sont: 3 vies et une mort subite! Le survivamt gagne.

     

    Le mardi soir: gagnez un pass d'une valeur de 485NZD, en dégustant des mets croustillants au fear factor games! Au menu: des pieds de porc, un ognion, du piment, du Chili, du wasabi, de la nourriture pour chiens... Le jeu en vaut toutefois la chandelle!

     

    Mercredi soir: Beer Pong. Vous avez une pinte par équipe de deux, servie dans cinq verres par équipe. Le but: viser, muni d'une balle de Ping Pong, un des verres de l'adversaire afin de le faire boire cul-sec. Vous avez 8 minutes! :-p Le gain: un pass de 1000NZD pour voyager en NZ, dans un bus, où vous aurez le droit d'y faire la fête, tout le trajet durant!

     

    Jeudi soir: pub crawl; 10NZD, 4 bars, 4 bières gratuites. Pas folichon, comme je l'ai précisé dans un article précédent....

     

    Vendredi et samedi soir: démerdez-vous!

     

    Dimanche soir: bières gratuites. Lors des soirées organisées, un jug pour 12NZD, sinon; c'est 13,50NZD...

     

    Le confort: chambres de 4 sans fenêtres: 19NZD par nuit, avec fenêtre: 22, 6 lits: 23NZD,... Bon: les douches: pas de fenêtre, cela sans la moisissure, pas de savon pendant cinq jours dans mon étage et pas de papier dans les toilettes. Mais tout va bien; il reste des serviettes pour les mains!!!;-)

     

    Point positif: un petit repas gratuit tous les soirs, pour chaque nuit reservee. Enjoy! Possibilite de beneficier d'une plus grande assiette, moyennant 4NZD de plus.

     

    Allez, départ en stop pour la Bay of Islands: dormir dans une tente? Ok. Pas se laver? Ok. Manger des chips? Go!

     

     

     

    Hi there!
    It's been a long time I did not give any news, so to be forgiven: new article, new category... Madness!
    So; let's talk about accomodations and more precisely: the Fat Camel Backpacker. Small budget, small comfort, but heaps of activities, almost each night.
    On Monday nights, there is the pool game. You can win a free jug. The goal is to put the balls in the holes, with a maximum of 3 lives each. The survivor wins the price!
    On Tuesday nights, it's the Magic Fear Factor Games, in which you can win a 485NZD Northen Discovery pass with Magic Bus, which will allow you to travel in the North of Northland. The game is to answer Magic and NZ questions and eat delicious meals like onions, porks feet, wasabi, chili, dog food.... Yummy yummy!
    Wednesday night: Beer Pong game, in which you have one jug split with your opponent in 10 glasses. The goal is to throw the ball in one of your opponent's drinks. The more you drink; you loose! The price is a 1000NZD pass with the Kiwi Experience Tour. This buses are the only one where you can party in there. Have fun but do not try to sleep! ;-) You have to pay 5NZD to play this game, buy the way... 
    On Thursday, there's the Pub Crawl I talked about earlier... You pay 10NZD to enter 4 bars and earn a house beer, house spirit or house wine per bar. Moreover, you can win different prices at the Globe, which are NZ passes, as well.
    On Fridays and Saturdays, help yourself!
    On Sunday nights, the pool is free but there are no discount prices for drinks, like every other nights.
    About the "comfort", well... It smells rotten in bathrooms, the cheapest rooms cost 19NZD for a 4 bed dorm without window or for an 8 bed dorm, then it's 23NZD for a 6 bed dorm, ... and 50NZD for a double bedroom, without window and 60 with one...
    Moreover, there has been no toilet paper in the toilets for more than 6 days (maybe more, because I left so I do not really know....). There was no soap either but however, there was still towels to dry your hands! (maybe more...:-0)
    So now: hitch-hiking to Northland!!!! Sleep in a tent? Ok. No showers? Fine. Eat chips? Cool!

     


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    «En retard, en retard

    J’ai rendez-vous que’que part

    Je n’ai pas le temps de dire au revoir

    Je suis en r’tard, en r’tard »

     

    On dirait que je me suis absentée un peu trop longtemps, n’est-ce pas, pour cause de voyages intempestifs. Oui, je ne regrette absolument rien. Je me rattrape maintenant.

     

    J’en étais donc à conter mes mésaventures dans la faune urbaine. Et de ce fait, je désirais absolument rajouter une deuxième rencontre (promis, c’est la dernière qui ne sera point « humaine » !).

     

    Bon. Une araignée ; arachnide d’une taille allant de moins d’un millimètre, à 30 centimètres…

    Oui ; 30 centimètres contre un millimètre ! L’échelle est large, et pourtant…

    Un matin ; alors qu’il était tôt, que j’étais en retard mais non pas plus capable, j’entrais dans la douche (calmons les ardeurs, il n’y aura ni photos, ni détails intimes, d’ici quelques ères…), j’allais juste me rincer la tête lorsque j’aperçus, sortant impudemment de la bouche de ventilation : une araignée, grosse comme ma main (tiens, ma main est énorme, en fait !), velues, avec des pattes aussi épaisses que des bâtons de réglisse, qui se dirigeait vers moi.

     

    Je la fixais alors, avec autant de diligence que d’effroi et après quelques secondes, pendant lesquelles je réalisais que c’était moi qu’elle voulait, je décidai de quitter la douche.

     

    Seulement, cette vicieuse, au lieu de poursuivre son chemin,  s’était glissée, avec sa toile, en plein devant ma face.

    Forcément, ce genre d’incidents ne peut pas arriver dans une jungle, où nous somme vêtus, préparés et conditionnés pour ces difficultés, mais pour mon cas, il faut que tout se passe le matin, étant décharné et tout cela par surprise !

     

    Par chance, mes vieux réflexes du matin reprirent fortune, et comme Néo dans Matrix, j’esquivais l’arachnide, tout en récupérant mes effets, et prenait finalement la fuite en une poignée de  secondes.

     

     

    "Je sais, j'ai dit que je faisais un régime...:-s"
     

    Le problème était, que je travaillais pour le ménage dans cet hôtel et que ce jour-là, j’étais chargée des salles de bain. Cette complication ne fût que de courte durée, puisqu’au final, j’ai toutefois pris la décision de mettre en route la ventilation, de fermer la porte et de ne plus jamais mettre les pieds dans cette pièce.

     

    Et si cette araignée se sentait seule ? Si elle voulait simplement de la compagnie ? Si seulement, comme les fantômes, ces insectes nous effraient mais sont d’adorables créatures ? J’ai brisé un cœur d’araignée, aujourd’hui. Elle s’appellera Casper, la gentille araignée.

     Wow! This one is way more scary!!


     

     “I'm late / I'm late / For a very important date. / No time to say "Hello, Goodbye". / I'm late, I'm late, I'm late.”

     

    It looks like I’ve been away for quite a while! I’ve been overbooked for some travelling around purposes. I hope you won’t blame me for that!

     

    So I was talking about my bad adventures in the urban jungle, so I’m going to tell you about the spider I called Casper. I promise I won’t talk about any other animals, after this article.

     

    What is a spider? It is an arachnid which size goes from some millimeters to 30 centimeters. Yes. A large scale and yet, here is what happened to me.

     

     


    One morning, quite early, and late at the same time, but not more efficient, anyway, I entered the shower tube and at the moment I wanted to rinse my head, I saw this spider on the ceiling, as big as my hand (wow! My hands are massive actually!), with big hairy legs (as hairy as my dog’s ones!) going out of the fan and coming to me. I was staring at it, afraid and brave at the same time, but realized it definitely wanted me! I came out of the shower, but that vicious arachnid skipped right in front of my face!

     

    My reflexes came back right on time, so like Noah in the movie Matrix, I dodged it, took my personal effects and left in a couple of seconds.

     

    Of course those kinds of adventures cannot happen in a tropical country, while you are dressed, and prepared in case of those incidents, but for me, it had to happen in the shower, in the morning, before I could wake up mentally.

     

    Anyway, the issue of that day was that I was supposed to clean the bathrooms that day. So what I did was to switch the fan on and close the door forever.

     

    What if this spider was nice and wanted to be friend with me? What if people were just blindly afraid of every spider like they were, for ghosts? What if I was wrong? I’ll call you Casper, the nice spider.

     

     

     


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